Les moyens d’identifier et de réagir face au mauvais payeur

Les moyens d’identifier et de réagir face au mauvais payeur

On peut identifier en avance un mauvais payeur par une méthode de profilage. Il faut toujours réaliser une recherche sur son futur client avant de signer quoique ce soit et surtout d’accepter d’établir des factures pour différentes entités. On doit aussi bien analyser son comportement et son geste durant la signature d’ accord de vente et de service.

Comment reconnaitre un mauvais payeur ?

On reconnaît un mauvais payeur par ses gestes et ses comportements. Certains d’entre eux demandent parfois d’établir une facture au nom d’une autre société. L’annonce portait sur une entreprise X et, finalement, le client  demande une facture au nom d’une société Y.

Ce genre de situation n’est pas suspect mais attire quand même le doute. On doit vérifier la situation financière d’une personne qui évoque ce genre de procédure ou ce genre de mot. Après un audit financier, on sera plus serein de découvrir son client. Dans ce cas, tout est normal. D’autres mauvais payeurs parlent des difficultés financières de leur entreprise. Si on évoque le tarif, le client essaie de tirer la larme à l’œil avec ses difficultés de trésorerie. Si c’est le cas, il est recommandé d’arrêter tout processus d’accord de vente. Soit il essai et tente de faire baisser les tarifs ou il a réellement des problèmes financiers et on risque de se retrouver en face d’une entreprise en liquidation judiciaire et un mauvais payeur.

Appliquer un processus de relance téléphonique tout en restant courtois

Un freelance ne peut pas agir comme un mafieux italien. Pas de menace, pas d’insulte… En effet, il faut rester courtois en toutes circonstances. Ceci dit, rien ne vous empêche d’appliquer un processus strict de relance de paiement.

Il faut par exemple démarrer par un coup de fil détendu. On doit demander sa situation sanitaire comme « Bonjour. Comment allez-vous ? Ensuite, on doit l’informer du retard du paiement et de le demander poliment de régler la situation pour éviter les amendes et la pénalisation. On doit dialoguer avec son client par téléphone, par SMS, en ligne, par courrier postal ou via un médiateur. On essaie de connaître son client et on doit adopter une bonne communication qui lui convient le mieux.

Mettre en œuvre une méthode de relance par email

Si la relance téléphonique ne fait pas réagir votre client, il suffit d’envoyer un mail détendu. Il faut toujours reste polie et courtois pour éviter d’envenimer la situation. Il faut prendre des mesures rigides et fermes mais avec certaines souplesses et flexibilités. Si, malgré tout, il ne réagit pas, il est conseillé d’envoyer un mail plus formel avec une formule de prévention. Il faut toujours informer son client et l’expliquer la situation. On peut attendre une semaine avant d’envoyer un email de relance pour une technique de recouvrement. Après ce moment, on a le droit de réclamer son argent par téléphone. Si la situation n’est pas réglée, on peut engager une agence de recouvrement pour porter l’affaire en justice. On a besoin dans ce cas d’un avocat ou d’un huissier de justice.

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